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Meuh$
Meuh

11/05 :: 10:24

Meuhdéro



Des symboles ayant un symbole spécifique ? Pas pigé là xD

Les Twhomp z'ont rien de mieux à faire que de se casser la tête sur les murs ou quoi ? ^^

Bon alors si je pige bien, le Twhomp veut que notre moustachu l'aide pour retruover l'assassin de sa mère. Sachant que tous les Twhomp se ressemblent c'est pas gagné
ptiyoshi$2005073
ptiyoshi

12/05 :: 19:28

Toad



Vinvin bravo pour ton roman mario,euh il en est à combien d'etoiles?
Meuh$
Meuh

12/05 :: 19:54

Admeuhnistrateur



Une seule pour l'instant, si tu l'avais lu tu serais au courant
vinvin23$2004315
vinvin23

06/08 » 21:57

xD Non, veux pas y aller ! Pas là bas ...



Chapitre IV – Partie 2 - Meurtre à la forteresse - TOTEM !

Madame Twhomp était l’une de ces femmes imbues d’elle-même, axée uniquement sur leur aspect physique, et sur l’impression que les autres pourrait avoir de la grande personne qu’elle est. Petite ouvrière de cartier d’abord, elle devint, par la force des choses, une femme d’affaire reconnue dans toute la forteresse, par ses nombreuses industries implantées un peu partout dans les différentes parties de la bâtisse. Partant de rien, elle réussit à mettre à ses pieds tout un peuple, le chargeant de faire de sa vie un luxe princier, croulant ainsi sous une fortune toute particulière. Après un certain nombre de mois, la princesse eut le privilège de se faire de nombreux ennemis, certainement jaloux de sa grandeur et de son prestige.
« Qui avait des raisons d’en vouloir à votre mère ?
- Personne ... enfin pas que je sache. Et puis, de toute façon, elle ne me parlait jamais de ses problèmes ...
Mario fit quelques tours de le petite pièce où discutaient les deux associés, et fit alors une remarque : « C’était tout de même une femme riche, connue ... ce genre de personne ont tendance à ne pas être apréciées par tout le monde ... »

A cette phrase, un vieil homme entra dans la pièce. Grand, barbu, il semblait être un vieux Thwomp dont l’âge avait modifié tout esthétique, tant sa roche s’éffritait à vue d’œil.
« Je sais qui l’a tuée ! »

A suivre ...


Meuh$
Meuh

12/05 :: 22:23

Admeuhnistrateur



Ah bah voilà, pas besoin de s'emmerder, le vieux est au courant
Bon alors, crache le morceau, qui c'est ?
ptiyoshi$2005073
ptiyoshi

12/05 :: 22:33

Peach



c'est peut etre un autre Twomp jaloux de sa richesse ou peut etre.....Boswer
vinvin23$2004315
vinvin23

15/05 :: 13:54

xD Non, veux pas y aller ! Pas là bas ...



Chapitre IV – Partie 3 - Meurtre à la forteresse

Le vieil homme et le Thwomp s’échangèrent un drôle de regard, qui ne présagea rien de bon. Avec une sorte de rire maléfique mélangé à de la petite tristesse, le vieux boc de pierre continua son discours :
« Je sais qui l’a tuée ... je l’ai vu. C’est lui ! C’est lui ! ». De ses petits bras détruits, le gros bloc désigna le Thwomp qui avait appelé Mario à la rescousse.
- Vous délirez, mon pauvre ! répondit l’accusé en tapant du pied.
- Que nenni ! Je vous ai vu, oh que oui ! Elle criait, elle se débattait ... et vous l’avez tuée !

Mario ne savait que penser, ne savait qui croire. Il avait devant lui deux hommes, tout deux sûrs de leur version, se lançant tour à tour des injures tout aussi froide les unes que les autres. Soudain, le vieil homme balança l’une de ses pierres à la figure du jeune Thwomp, qui bascula alors d’une vitesse vertigineuse. Il venait de perdre la vie.
« Mais enfin ... vous l’avez tué !!! » fit Mario en s’approchant du corps.

Le vieux n’eut pas la force de constater son crime, et s’en alla sans tourner la tête. « Quelque chose me dit que cet effronté n’est pas totalement innocent. » accusa le plombier en se relevant « Et je le prouverai ».


La lune refit son apparition dans le ciel de l’immense bâtiment de Pierre. De nuages en nuages, de majestueuses bêtes faisaient leurs rondes, comme pour rendre un dernier hommage aux deux membres de la grande famille, ayant rendus l’âme presque au même moment ... Un cortège défilait autour de la forteresse, brandissant des pancartes qui menaçaient le doyen de mort, promettant ainsi de pouvoir, un jour, donner sa tête en spectacle à toute une population. Le moustachu, quant à lui, espérait pourvoir rendre justice à l’immonde famille, en retrouvant l’homme, ou, si il y avait distinction, retrouver l’assassin de la pauvre femme. Sur les flancs de la forteresse se tenaient, raide comme des piquets, des lignées de soldats, fauches à la main, qui attendais l’ordre de leur maître pour assaillir l’ennemi, si celui-ci daignait se présenter. En effet, le vieux était désormais considéré comme un réel ennemi public, recherché dans toute la bâtisse, étendant son visage sur tous les murs sombres qui la constituait. Ses (ou son ?) meurtre(s ?) devenaient le sujet principal de tout dîner de famille, et la seule et unique information qu’on dévorait dans les journaux. Mario, quant à lui, était le centre même de l’histoire, sur qui reposait toute la destinée de l’évènement. De temps à autres, il recevait des lettres de Toad, qui lui demandait de faire le plus vite possible, pour pouvoir passer enfin à autre chose. Mais Mario pataugeait ... aucune piste ne se présentait à lui, tout était comme vide, tout nageait dans ce grand océan de mystère : il aurait voulut résoudre rapidement l’affaire, mais ne pouvait point ...

A suivre ...


kev95592$2005089
kev95592

18/05 :: 21:13

Peach



mario a un pressentiment pas tres faut selon moi,vinvin pourquoi tu continue pastta fic est tellement bonne
Meuh$
Meuh

18/05 :: 21:49

Admeuhnistrateur



Oui bah une seconde, ça date d'il y a quelques jours à peine ^^

Bon, alors le vieux serait apparmement le vilain, mais maintenant il reste à voir s'il va enfin se ramener pour que Mario puisse se le faire et lui poser quelques questions ^^
Ptêt que c'est même pas lui, et là, Mario pédalera encore plus dans la choucroute ^^
kev95592$2005089
kev95592

19/05 » 13:12

Peach



selon moi le coupable est mort car il dit: -je veux que vous m'aidiez a la faire.
il fais allusion au meurtrier, pas vrai, alors logiquement c'est lui
Meuh$
Meuh

19/05 :: 00:52

Admeuhnistrateur



J'ai pas comprius ton raisonnement, tu pourrais le refaire. Avec de la ponctuation, si possible
vinvin23$2004315
vinvin23

19/05 :: 12:03

xD Non, veux pas y aller ! Pas là bas ...



Chapitre V – Aveux en douce

Le soleil se leva une nouvelle fois à la forteresse. Pressés de continuer leurs manifestations sanglantes, les petites gens du peuple ne tardèrent pas à endosser à nouveau leurs milles pancartes, pour prévenir haut et fort le Twhomp dans la force l’âge. Mario, lui, réfléchissait tranquillement à une solution, engouffré dans un petit bureau feutré de noir que le propriétaire de la bâtisse lui avait loué. Il disposait d’un plan détaillé, sur lequel on pouvait voir chaque supsects, chaque personne qui aurait pu tuer la femme riche qu’était Madame Twhomp. Tout le monde était persuadé que le vieux était à l’origine de cet horrible meurtre, mais notre plombier continuait à avoir des doutes.

« Vous savez, Mario, il va peut-être falloir que vous vous dépêchiez concernant notre petite affaire. Le peuple commence à s’impatienter, et aimerait bien voir la tête du vieux sur un piquet. »
- Le fait que je confirme la culpabilité du doyen ne le fera pas revenir, au contraire.
- Bien sûr que non, mais au moins, il sera un réel coupable aux yeux de la loi.
- Il a tué quelqu’un devant moi ... il est déjà considéré comme coupable. Pourquoi l’accabler de deux meurtres ?
- Bah, vous avez trop de sentiments mon bon Mario, ça vous jouera des tours. Bien ... j’ai de l’administration en retard, je vais vous laisser. Débrouillez vous pour me retrouver cet assassin, on ne va pas y passer les vendanges.

Mario se releva de sa chaise, et, une fois arrivé au pas de la porte, se retourna pour poser une dernière question au propriétaire.
- Dites, Monsieur T-Whompa ...
- Quoi, encore ? fit le géant de pierre, agacé.
- Pourquoi ne dit-on que du mal de votre forteresse ? Après tout, les gens y sont normaux ... un peu cruel, certes, mais ...
- C’est surtout à cause de ce qui la compose. Depuis la nuit des temps, nous sommes envahis par les plantes et les monstres. Et ça, voyez vous, impossible de faire sans. Si on essayait de s’en débarrasser, nous crèverions à leur place ...
- Le fils de la pauvre femme défunte m’a dit quelque chose, lorsque je l’ai rencontré pour la première fois : « Ici, c’est la jungle, personne ne se soucie de personne, il n’y a aucune loi. ». Si ce qu’il a dit est vrai ... pourquoi toutes ces manifestations ? Pourquoi tout le monde ... semble concerné par ce double meurtre ?
- Vous posez trop de questions, mon cher.
- Ca vous embarrasse, hein ?

Sur ces mots, le chef cogna Mario avec une force dévastatrice, ce qui eut pour conséquence de le faire valser à l’autre bout de la pièce.

« SORTEZ DE MON BUREAU ! ET UNE FOIS QUE VOUS AUREZ RETROUVE L’ASSASSIN, DISPARAISSEZ POUR TOUJOURS DE NOTRE REGION! »

A suivre ....



Meuh$
Meuh

19/05 :: 12:33

Admeuhnistrateur



Voir la tête du vieux sur un piquet ? Ca a une tête, un Twhomp ? xD

Wouch, sinon il se passe apparement des trucs encore plus louche que les meurtres, il semblerait que les Twhomp ait des choses à cacher ^^
kev95592$2005089
kev95592

19/05 :: 17:35

Peach



il ne semble pas,ils ont des choses a cacher.

et j'ai mis les ponctuations meuh
vinvin23$2004315
vinvin23

22/05 :: 13:03

xD Non, veux pas y aller ! Pas là bas ...



Chapitre V – Aveux en douce – Partie 2

Il n’en fallut pas plus à Mario pour trouver l’assassin : toute une population. Ce groupe de personnes était tous responsables à leur manière du meurtre de la pauvre femme. Pour tenter de masque leurs meurtres, ils auraient fait tous ces cortèges et ces manifestations, contre un « dit criminel » qu’ils savaient alors innocent. Mais en quoi pouvait-on voir ça comme un conflit, comme un problème ? Toute une forteresse était prête à se protéger d’un meurtre communément commis : tout le monde était là, dans l’erreur ! Que faire ... ? Comment faire cesser un mal qui est créé de toutes pièces par celui qui en souffre ?

« Nous avons le devoir de régler des problèmes, Mario ! Il doit bien y avoir une solution pour celui-ci »
Mario était retourné au château Champignon, ne voyant aucune manière de résoudre ce dilemme. Le petit champignon ne semblait pas pouvoir l’aider plus, et faisait un peu plus patauger le plombier à chacune de ses paroles. « Et si nous prévenions la police ? » proposa le petit en se servant une tasse de thé. « Elle pourrait tous les embarquer ... »
- Mais ils ne l’ont pas tous tuée ! Ils savent juste tous qui l’a fait, et en sont bien content. Ils accusent quelqu’un d’autre pour effacer tout soupçons.
- Tu n’as plus qu’à prouver la culpabilité du Twhomp et tout rentrera dans l’ordre !
- Tu es bien naïf, Toad ! Non, je crois que je vais plûtot faire appel à un ami ... quelqu’un qui s’y connaît en affaire criminelles ...
- A qui penses-tu ?
- Tu verras bien. Je vais essayer de le contacter ...

Une petite brise caressait le versant de la montagne Gla-Gla. Dehors, quelques pingouins jouaient à s’envoyer des boules de neige en pleine figure, accusant certains rires enfantins qui marquent les joies de l’innocence. Perché sur son balcon, l’inspecteur Pingouin observait la joyeuse rimbambelle, une pipe au bec, bourré de souvenir de sa petite enfance.

A suivre ...


Meuh$
Meuh

22/05 :: 13:41

Admeuhnistrateur



Donc toute la populace serait fautif dans le meurtre, bah dis donc, c'est pas gai à la forteresse ^^

Bon, alors Mario va faire appel à un copain pour résoudre ça. Serait-ce l'inscpecteur Pingouin ? Et en quoi il va pouvoir aider Mario celui là ? Hm, on verra ça
vinvin23$2004315
vinvin23

25/05 :: 13:47

xD Non, veux pas y aller ! Pas là bas ...



Désolé si le postage vous semble rare, mais il est quand même bien plus long de rédiger un épisode du Roman que d'écrire celui d'un feuilleton.

ptiyoshi$2005073
ptiyoshi

25/05 :: 21:46

Peach



ce n'est rien je suis tres patient
kev95592$2005089
kev95592

26/05 :: 17:47

Bowser



ce n'est pas le cas pour moi j'ai tres hate qu'il fait la suite
vinvin23$2004315
vinvin23

26/05 :: 19:53

xD Non, veux pas y aller ! Pas là bas ...



Chapitre VI – Un si vieil ami

Le couple de Pingouin, composé d’une vieille femme à la retraite et d’un inspecteur de police des souvenirs plein la tête, vivaient tranquillement dans une petite maison retirée près de la frontière séparant la plaine du Champignon à l’entrée de la montagne Gla-Gla. Madame Pingouin était l’une de ses femmes qui avait passé sa vie à se soucier des autres et de leur sort, laissant incontestablement son sort aux mains de Dieu. Elle avait fait, durant sa longue vie, le tour de toutes les associations caritatives existantes, donnant aux pauvres et aux handicapés tout ce qu’elle n’avait jamais pu donner à son époux. Ses enfants, élevés presque sans elle, partirent le plus vite possible du foyer, écrasés par cette femme croyant bien faire, sans voir autour d’elle le malheur qu’elle causait. L’affection dont elle aurait pu faire preuve, la tendresse qu’elle aurait du adopter, disparaissaient au profit de ces milliers de mouvements en faveur des parias de la société moderne. Monsieur Pingouin quant à lui à toujours mené une petite vie de soumis, se contentant de ramener l’argent nécessaire à la survie du foyer, chaque mois. Sous ses airs de féroce inspecteur de police, reconnut à la montagne comme le plus dur des officiers ayant occupé ce poste jusqu’à maintenant, se cachait un bonhomme pleins de tendresse, qui cherchait plus que tout à oublier les méandres de la vie de famille qu’il devait supporter. Il connut Mario lors d’une tragique affaire dans un train, et se lia petit à petit d’amitié avec lui. Perdant peu à peu le contact, les deux compères s’étaient néanmoins promis de se contacter en cas de problème. Et ce jour arrive.

Mario, ne pouvant résoudre l’affaire par ses propres moyens, eut donc l’idée d’aller rendre visite à son cher ami, pour qu’ils puissent, ensemble, trouver la solution pour mettre un point final à ce crime massif de tout une population. « Vous voulez parler ... à ? »
- Votre mari, si possible.

La dame Pingouin avait accueillit Mario avec une telle froideur, qu’elle semblait avoir un beau double tranchant prêt à planter le plombier au moindre geste. Elle lui demanda de s’asseoir un moment, et le si vieil ami finit par refaire surface.

A suivre ...


Meuh$
Meuh

26/05 » 22:07

Admeuhnistrateur



Ah, voilà qui est ce Pingouin. On va voir s'il est capable de résoudre un si épineux problème. Mais si on parle du même que dans Paper Mario 2, bah ça risque d'être difficile, mais enfin il s'est peut être amélioré xD
Sa femme à pas l'air armoire par contre...
(celui qui ont trouvé d'où vient mon jeu de mot pourri gagne une cacahouète !)
vinvin23$2004315
vinvin23

01/06 :: 20:49

xD Non, veux pas y aller ! Pas là bas ...



Chapitre VI – Partie 2 – Un si vieil ami

« Mario ... Mario Mario ... tu n’a pas changé ... »
- Je serai hypocrite de te dire que toi non plus ... tu as vraiment ...
- Vieilli ? Pouah, je sais ... Mais, quand on a une femme comme la mienne. Un cigare ?
- Non merci, je ne fume pas.
- Alors dis moi, qu’est-ce qui t’amène ici exactement ? J’ai lu ta lettre, mais je n’ai pas tout compris ...

Mario fit un récit détaillé de tout ce qui s’était passé jusque là : Le kidnapping de la princesse, les étoiles du pouvoir, la guerre au champ bom-omb, et, surtout, le double meurtre à la forteresse. L’inspecteur écoutait toute l’histoire bien attentivement, plus que satisfait de pouvoir enfin se consacrer à autre chose qu’à la taille de ses pantoufles. Madame Pingouin, postée près de la porte du salon, tendait une oreille, tenant de savoir pourquoi un ancien compagnon était revenu après de si longues années. Après quelques éclats de rires, Mario se releva et salua poliment son grand copain, avant de regagner le vestibule.
« Je te rappelle dès ce soir après avoir réfléchi à un plan.. Je crois que cette histoire mérite d’avoir une fin », fit le Pingouin en reconduisant le plombier.
- Oui, en effet. Merci pour tout.

Le départ de Mario provoquait chez l’Inspecteur comme un sentiment de crainte : il allait, une fois de plus, se retrouver face à cette vieille mégère qui lui servait de femme, qui ne tarderait pas à la bombarder de questions sur cette visite si soudaine.
- Je le connais, commença-t-elle, c’est un ami de longues date, non ?
- En effet. Pourquoi, tu as peur que je te quitte pour lui ?
- Quel humour ! Non, j’ai juste peur que tu ne te lance dans de trop dangereuses histoire pour une aventure qui n’en vaut pas la peine.

Sur ces mots, le Pingouin lâcha sa pipe et fixa sa femme d’un regard des plus sombres.
« Tu as encore écouté aux portes, n’est-ce pas ? Mais qu’est-ce que j’ai épousé ? TU TE FOUS PAS MAL DE CE QUE JE VEUX, MOI, HEIN ? QUAND QUELQUE CHOSE TE GENE, TU TROUVES UN PRETEXTE POUR FAIRE CROIRE QUE TU TE SOUCIE DE MOI !!! MAIS TU N’A TOUJOURS PENSE QU’A TOI, TOI, TOI ET ENCORE TOI ! »
- Pourquoi me parle-tu comme ça ? Je suis ta femme ...
- Plus pour longtemps. Si tu t’opposes au fait que je veuille m’amuser un peu plutôt que de te cirer les pompes à longueur de journée, je ne vois pas ce que je fais encore ici à me détruire ! Je pars.
- Non, chéri ! NON ! Pas après tant d’années ... PINGOUIN ! REVIENS ! NOOOOON ... JE T’AIME ...

A suivre ...


ptiyoshi$2005073
ptiyoshi

01/06 :: 21:40

Peach



houla! le couple de pinguins se lachent,ca jette un froid
Meuh$
Meuh

01/06 :: 22:35

Admeuhnistrateur



Un froid, pour des pingouins, mwa la blague, hé xD

Bon enfin voilà, Mario a expliqué la situation, on va voir ce que mister pinguin va trouver comme plan pour se dépetrer de cette situation épineuse...Et on va aussi voir ce qu'il compte faire de sa femme
vinvin23$2004315
vinvin23

02/06 :: 21:15

xD Non, veux pas y aller ! Pas là bas ...



Chapitre VII – Couplé coulé

Depuis la création du réseau « Montagne Gla-Gla - Château champignon », le commerce devint bien plus facile. Les poissons autrefois enfermés dans leur lac natal, pêchés par quelques pingouins affamés, devenaient la nourriture de tout une dynastie, la famille Toadstool ne se nourrissant que de ces animaux marins glacés par l’air frais du paysage tout de blanc vêtu. Tout les Lundis, un bateau exclusivement réservé au transport des marchandises quittait le port Glacé pour se rendre aux rives de la plage Champignon, menant directement à la demeure de la famille Royale. Un autre, partant chaque jour à deux moment différents de la journée, s’occupait d’emmener les petites familles de pingouins au pays de la verdure, ou, au contraire, celles d’humains voulant s’essayer au contrées fraîches et couvertes de neige qui s’étendait sur la partie Nord du continent. Monsieur Pingouin, las des perpétuels combats qu’il menait avec sa chère épouse, avait pris l’un de ses navires afin de rejoindre son ami Mario pour l’aider dans son enquête.

« Qu’est-ce que vous fichez dans la caisse de poissons, m’dame ? Il y a un bateau fait pour transporter les touristes, vous savez ? »
- Je suis mon mari qui est dans l’autre embarcation, fit Madame Pingouin en allumant une cigarette. Je vous donne vingt dollars et vous n’en parlez à personne.
- Désolé, ce n’est pas assez pour moi, je vais être obligé de ...
- Bon, bon, c’est d’accord. Voici cent dollars, et maintenant, fichez moi la paix.
- Vous être trop bonne, ma p’tite.

Le reste du voyage se déroula d’une façon plûtot banale. Monsieur pingouin, sur le siège qui lui était réservé, fumait gentillement sa pipe en attendant devoir le bateau jetter l’encre. Son épouse, elle, se battait avec quelques mouettes, tout en essayant de se trouver une place confortable dans l’amas de caisses disposé aux quatres coin de la cave où elle s’était réfugiée.
Une fois arrivé au port, l’Inspecteur se dirigea hâtivement vers le château, pour pouvoir enfin s’entretenir seul avec son ami.

« Entre Pingouin. Assieds toi. Tu m’excuseras du désordre, mais avec tout ce qui s’est passé, je n’ai pas eu le temps de m’occuper du ménage de Peach et de ses petites affaires.
- Bah, de toute façon je ne suis pas venu pour juger de la propreté de cette demeure, fit le pingouin joyeux d’un air moqueur.
- En effet ... bien, si nous commencions notre petite enquête ? Il ne faut pas traîner, si je veux pouvoir retrouver Peach un de ses jours ...

Dehors, penché au vitrail rond donnant sur le salon, Madame Pingouin observait son Mari discutant si aisément avec cet inconnu qu’elle méprisait déjà. Le visage déformé par une affreuse grimace, elle redescendit de la plate-forme, réfléchissant à une façon de faire revenir son mari le plus vite possible.

« Si nous allions discuter dehors, Mario ? Nous y serons plus tranquilles, tu ne crois pas ? », fit le pingouin en bourrant sa pipe avec énergie.
- Oui, surtout avec ce grand soleil que la nature nous offre ...

Nos deux compères allèrent discuter de leurs petites affaires près du Lac Champignon, qui brillait de milles feux en cette journée de Juillet. De somptueux arbres, sur les rives du cour d’eau, donnaient au paysage un aspect magique indescriptible, qui traduisait à lui seul toute la beauté d’un tel royaume. Trempant ses pattes dans l’eau tiède, l’Inspecteur se perdait volontiers dans de longues phrases, et se donnait un air d’homme doué d’une intelligence sans limite, animé par le besoin de faire de la fin de sa vie une aventure de tout les jours. A deux, ils établissaient un plan concernant la forteresse : ils comptaient avoir la populace par la racine, et cherchaient un moyen de leur faire croire à une tromperie de la part du propriétaire. Ils retournèrent le problème dans tout les sens, analysant chaque point du dilemme.

« Ils protègent tous le Twhomp. Car c’est lui, l’assassin de la mère du petit jeune qui m’a appelé. Il ne supportait pas de voir une femme prendre tellement de pouvoir, les Twhomps ont gardé un esprit primitif. Après ça, il n’a pas été difficile pour lui de convaincre son petit peuple de mentir. Et voilà le résultat : tout le monde accuse un pauvre vieux, pour innoncenter leurs chefs ...
- Ca n’explique pas pourquoi le vieux dit avoir vu le jeune tuer sa mère, fit l’Inspecteur en posant sa pipe.
- C’est un fou ... j’ai trouvé un dossier sur lui stipulant qu’il avait passé la moitié de sa vie en maison de repos. On ne peut pas considérer son témoignage comme véridique.
- Oui, mais on ne peut pas écarter le fait qu’il puisse dire la vérité !
- Non, non, et non. Le seul responsable là dedans, c’est le propriétaire de la forteresse. Et je le coincerai.
- Je te fais confiance, Mario. Nous n’avons plus qu’à établir un plan solide.

A suivre ...


ptiyoshi$2005073
ptiyoshi

02/06 :: 22:58

Peach



Whoua!Mario et l'inspecteur vont coaliser ca risque d'etre interresant
Meuh$
Meuh

03/06 :: 18:35

Admeuhnistrateur



Wouaf, Madame Pinguin a vraiment envie de retrouver son mari, et elle va sûrement mettre des batons dans le roues de ce pauvre Mario.

A part ça, Mario fait sûrement erreur en ne voulant pas considérer le témoignage du vieux...
vinvin23$2004315
vinvin23

03/06 :: 22:27

xD Non, veux pas y aller ! Pas là bas ...



Chapitre VIII – Un discours en béton

Mario et l’Inspecteur venait d’arriver à la forteresse, accueillis par quelques quolibets sans suite. Leurs bagages, transportées par deux enfants de pierres, ne contenaient que le stricte nécessaire : ils comptaient en finir très vite. Leur technique était risquée, mais c’était le seul moyen de retourner la population contre leur « roi ». Ce dernier, des affaires l’attendant au tournant, s’était absenté pour quelques jours, ce qui laissait à Mario et à son ami le temps nécessaire pour mettre leur plan en application. Durant toute une journée, ils distribuèrent des tracts pour une invitation sur la place publique, le dimanche suivant. Nos deux amis policiers en herbe comptaient atteindre le cœur de cette masse de pierre, par le moyen le plus fiable connu jusqu’à ce jour : le discours. Quoi de plus convaincant qu’une suite de phrase passionnée, sincère, bien placée, et bourrée de vérité ? Car Mario et son ami savaient que le propriétaire se servaient de ses habitants pour maquiller son meurtre, et comptaient faire cesser ce petit manière.

« Population de la forteresse, si je vous ai convoqués ici, ce n’est pas pour reçevoir de vous les insultes auxquelles je suis si souvent habitué. On m’a confié une mission, celle de retrouver l’assassin de la pauvre madame Twomp, cette vieille femme qui s’était donné corps et âme à ce lieu. Ma mission est aussi de donner des réponses à tant de questions que son fils se posait : « POURQUOI AVOIR TUE MA MERE ? » ! Je vais vous le dire, moi, pourquoi elle à été tuée. Je vais vous le dire, là, maintenant. LA JALOUSIE !!! VOICI LA CAUSE DE TOUT CA ! UN HOMME AU CŒUR DE PIERRE A PREFERE MASSACRER UNE PAUVRE DAME POUR NE PAS QU’ELLE S’EMPARE DE SON EMPIRE, DE SA REGION, DE SA BATISSE ! ET VOUS AVEZ MARCHE DANS SON JEU ! VOUS AVEZ TOUS ACCEPTE DE VOUS TREMPER LES PIEDS DANS CE COMPLOT !!! MAIS REVEILLEZ VOUS, BON SANG ! VOUS ETES TOUS COMPLICES D’UN MEURTRE ! et l’homme que j’ai avec moi travaille à la police. Nous avons les preuves nécessaires pour tous vous faire finir en prison. Nous savons, nous savons ce que vous avez fait ! Nous savons que vous protégez votre pseudo Dieu ! Alors ... si vous n’avouez pas tout, maintenant ... tout sera terminé ... »

L’inspecteur Pingouin savait bien que ce discours était basé sur un mensonge, et que Mario n’avait aucune preuve quant à l’application collective de la populace. Seulement, ceci, les habitants n’étaient pas censé le savoir. Aveuglés par des aveux si troublants de la part du plombier, une masse de personnes se mirent à crier le nom de l’assassin : le plan de Mario venait de fonctionner. En l’espace de quelques secondes, hommes et femmes demandèrent pardon à l’Inspecteur Pingouin, et firent des aveux presque trop faciles. Malin, notre héros avait convoqué la police à cette petite fête, qui se fit un plaisir de tous les emmener, pris au piège par notre personnage principal.

- Tu leur a menti, tu leur a promis la liberté en échange de leurs aveux, et à la place tu ... tu as fais comme nous l’avions prévu.
- En effet, tout a marché comme sur des roulettes ... et je ne sais pas pourquoi, mais je ne regrette rien. Ils n’ont eu que ce qu’ils méritaient ...

« CHERI ! JE TE RETROUVE ENFIN ! »

Surgie de nulle part, Madame Pingouin venait de refaire apparition, couverte de boue et de plumes d’oiseau. « J’ai ouïs dire que vous aviez trompé toute une population ! Il faut le faire ! Bref, tu peux revenir à la maison maintenant, hein ? hein ? hein ? »
- Non. Je n’ai aucune raison de revenir. Mon aventure avec Mario m’a redonné le goût de vivre. Je vais faire un tour du monde, sans toi ... tu n’auras plus qu’à te retrouver quelqu’un pour tes petits caprices.
- Mais je t’aime. Mon Pingouin, mon sucre, mon ...
Sur ces mots, l’inspecteur gifla sa femme d’une puissance magistrale, ce qui eut pour conséquence de la faire méchamment basculer au sol. Mario, abasourdi, se mit machinalement la main devant la bouche.
- Je déteste quand tu fais l’hypocrite, commença le pingouin avec un visage sévère. Je ne veux plus entendre parler de toi, de tes petites envies, de tes petites folies. Je ne veux plus te voir en me levant, je ne vois plus te voir en éteignant la lumière. Je ne veux plus supporter tes insultes, tes petits airs de princesse. Je ne veux plus. Je ne veux plus ... TU LE COMPRENDS, CA ? C’EST TERMINE !!!!

Sans poser plus de questions, la vieille femme se releva, et disposa le plus discrètement possible. Mario, encore figé par la terreur, venait d’assister à la plus terrible scène de ménage de sa vie, et espérait profondément ne jamais avoir à vivre ça avec Peach. Il s’osa à aborder son ami, devant impérativement et sans plus tarder lui dire au revoir. « Une nouvelle mission m’attends », fit le plombier en lâchant une petite larme. « Je dois aller voir Toad, il me dira où aller, quel problème régler. Je te souhaite beaucoup de bonheur pour la suite. »
- Je t’aime beaucoup, Mario. Tu es un jeune qui promet. Laisse moi te dire que je t’ai toujours beaucoup admiré.
- C’est réciproque ... au revoir, Pingouin.

Et Mario retourna au château ...

A suivre ...


Meuh$
Meuh

04/06 :: 11:11

Admeuhnistrateur



Bon bah voilà, l'affaire est reglée, même si pour ce faire ils ont dû mentir et enfermer en prison toute une populace, c'est quand même pas très sympa de leur avoir promis la grâce et d'ensuite tous les embarquer xD

Et la femme de Pingouin va t elle se laisser faire comme ça, ou va-t-elle essayer de suivre son mari pour le ramener coûte que coûte à la maison ?
Ou alors on s'en fout, et Pingouin ne refera jamais d'apparition dans le roman ?
vinvin23$2004315
vinvin23

04/06 :: 22:40

xD Non, veux pas y aller ! Pas là bas ...



Chapitre IX – Chassons de l’anguille

Il existe, au royaume champignon, un lieu composé exclusivement d’eau, où les marins n’osent jamais s’aventurer, tant l’eau y est agitée et peuplée de créatures maléfiques en tout genre. On raconte, entre autres, qu’une anguille hanterait le lieu dit, chassant de sa queue rouge tout les plongeurs un peu trop curieux qui oseraient s’aventurer dans son domaine : elle fait de cet endroit un endroit craint, malfamé, qui condamne alors cette partie du royaume jadis si fréquentée. Toad s’était sérieusement intéressé aux profondeurs en question, feuilletant de fond en comble tout les manuscrits de la bibliothèque de Peach.
- Ce monstre sème la terreur depuis bien trop longtemps à la Baie des Pirates, Mario. Je te propose d’arranger tout ça, fit le champignon en pointant l’entrée vers un chemin caillouteux.
- Mais enfin, tu sais ce que tu me demandes ? C’est une créature mystique, même les plus grands aventuriers n’ont jamais réussis à s’en débarrasser ! Sa morsure entraîne une maladie incurable, et ...
- Tu dois prendre le risque, mon pauvre ! Pour Peach, pour la Baie ! Je t’en prie ...

Mario fit quelques tours de la pièce, la tête pleines d’idées aussi différentes les une que les autres, à la fois angoissé et impatient de se rendre à cette étendue d’eau dont tout le monde parlait, pour pouvoir régler son compte à la bête qui l’habitait. Après une centaine de pas, il aborda enfin Toad :
« Bien, c’est d’accord. Mais ne t’étonnes pas si je rentre avec une jambe en moins et dix-huits lésions sur le crâne. »
- Ne parle pas de malheurs, fit Toad en tapotant l’épaule de son ami, j’ai confiance en toi, je sais que tu vas y arriver.


Notre plombier arriva, vers l’heure du dîner, à l’amas de sable. Le cœur virevoltant dans sa poitrine, il loua un petit bateau et quelques instruments de chasse à la cabane en bois de la plage, ce qui lui fit dépenser la moitié de ses économies. Les commentaires sarcastiques de la vendeuse ne firent qu’augmenter sa crainte, mais son but restait cependant le même, et rien ne semblait pouvoir l’arrêter. Arrivé au centre de la baie, il s’habille en conséquences, et plongea une bonne fois pour toute dans ce liquide bleu ... Autour de lui, des milliers de petits poissons habillés de centaines de couleurs le saluait, semblant vouloir se reposer sur le corps du moustachu. Des murènes, petites et inoffensives, tournaient autour de Mario comme pour le saluer, riants aux éclats comme des enfants rient dans une cour de récréation. Il fallut deux bonne minutes pour enfin apercevoir l’épave du Saint- Martin, dont l’aspect fantôme avait le don de faire frissonner tout humain doué de sens. Ses flans, colorés de verts, accueillaient quatre fenêtres, à travers lesquelles ont pouvait observer quelques salles de l’ancien Navire.


Et elle était là. Dans toute sa splendeur, le visage emplit de terreur, les yeux d’un blanc subtil, le corps déformé de ses blessures, l’air endormie et réveillée à la fois. D’apparence, elle ne faisait pas croire au monstre qu’on décrivait en parlant d’elle. Son air de dépendante à on ne sait quel stupéfiant lui donnait plutôt l’apparence de quelqu’un d’idiot, venu pour admirer la formidable apparence des parois sous-marines. Cependant, notre héros savait pertinemment à qui il aurait à faire en s’y attaquant, et devait donc trouver un plan solide pour n’en faire qu’une bouchée. « A ta place, j’éviterai de réfléchir ... »

Une voix venait de s’emparer de son cerveau, sans crier gare. Quelqu’un venait de lui parler, mais sans qu’aucun son ne parvienne à ses oreilles ! Des mots, des sons, lui avaient traversé l’esprit d’une façon des plus étranges ...

« C’est bien à toi que je parle, Mario. Alors, toi aussi tu veux me terrasser ? Désolé, ça ne marche pas comme ça ici-bas ... ».

La scène qui suivit fût des plus cruelles. L’anguille, de ses crocs meurtriers, vint mordre Mario d’une puissance phénoménale, et se dernier perdit connaissance aussi vite. Bercé par le doux poison dont on venait de l’envelopper, il fit alors un voyage vers le fond de l’océan ...

A suivre ...


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